Direction Alger la Blanche
Dans Direction l'Algérie, Alger la blanche s’offre en images et résonances : architecture, nature et culture populaire, un voyage sensoriel dans une capitale singulière.
Direction
Alger la blanche
Dans Direction l'Algérie, Alger la blanche s’offre en images et résonances : architecture, nature et culture populaire, un voyage sensoriel dans une capitale singulière.
Alger
Le grand format
Patrimoine, mémoire, art : voyage captivant au cœur de la Blanche.
RegarderKetchaoua
La mosquée historique
L'édifice emblématique de la Casbah d'Alger.
RegarderJardin d’essai
L’oasis botanique
Poumon vert, allée de palmiers, décor de Tarzan.
RegarderCasbah
La vieille ville
Citadelle ottomane, dédales de ruelles, patrimoine mondial.
RegarderChaâbi
La voix populaire
Mandole et voix chaude : la musique du peuple.
RegarderAlger la Blanche
Cap sur Alger la Blanche : baie lumineuse, Casbah millénaire, chant populaire et jardin d'essai luxuriant. Une capitale palpitante.
Cap sur la baie d'Alger : Casbah, musique et jardin luxuriant.
Dossier
Alger la Blanche
Lieu de promenade très apprécié des habitants de la ville, le jardin d'essai d'Alger est considéré comme l'un des plus importants au monde. On y traverse en découvrant de multiples essences végétales, des clairières de fraîcheur, mais aussi des réminiscences de plateaux de cinéma.
Contrairement à ce que beaucoup croient, la Casbah n’est pas un quartier. Au-dessus de la baie d’Alger, elle est une véritable ville dans la ville. Citadelle faite de ruelles, d’escaliers et autres terrasses qui s’emboîtent, la Casbah est devenue un symbole : celui d’une culture algérienne qui conjugue mémoire et résistance.
Au pied de la Casbah, la mosquée Ketchaoua se dresse comme une page de pierre écrite à plusieurs mains. Elle n’est pas seulement un monument : c’est une histoire condensée d’Alger. Berbère puis ottomane, cathédrale sous la colonisation avant d’être restituée au culte musulman, cet édifice historique est un emblème de la ville.
Né dans la Casbah, le chaâbi est plus qu’un genre musical : c’est une manière de raconter la ville, de mettre en rythme ses départs et ses retrouvailles. Fin des années 90, ce chant populaire d’Alger a mondialement fait parler de lui avec la célèbre et indémodable chanson "Ya Rayah".
Bienvenue à Alger, “Dzair el assima” en arabe, la capitale de l’Algérie. Surnommée “el Baida” la Blanche et “el Bahdja” la joyeuse, c’est la première agglomération du Maghreb.
Après Oran l’Andalouse, c’est dans la capitale que Direction l’Algérie a décidé de poser ses valises pour le tournage du second épisode de la série documentaire. Étape essentielle de tout voyageur soucieux de découvrir Alger et son authenticité : la vieille ville, véritable symbole de la culture algérienne.
L’épisode 2 de Direction l’Algérie vous propose de découvrir cette ville méditerranéenne fascinante, conquise plusieurs fois au cours de son histoire. Dans l’Antiquité, Alger a ainsi tour à tour été occupée par les Phéniciens, les Romains, les Vandales ou encore les Byzantins. Explorer Alger, c’est donc se balader dans une ville architecturalement hétérogène. Visiter Alger, c’est accepter d’être surpris à chaque coin de rue.
Sous les Phéniciens, Alger répond au nom d’Icosium. La cité est alors un comptoir commercial sur les rives de la Méditerranée. À la fin du royaume punique, elle passe sous influence romaine et reste rattachée à l'empire de Rome jusqu’à l’arrivée des Vandales au 5e siècle. Reconquise par les Byzantins, elle est ensuite annexée par les Arabes à la fin du 7e siècle qui détruisent l’Icosium romaine.